Poste chez BKW: responsable de projet Communication
Lieu de domicile: Berne
Lieu de travail: Berne, Viktoriaplatz
Trajet quotidien: 4 kilomètres
Temps de trajet par jour: 20 minutes
Je prends de toute façon mon vélo pour me rendre au travail, donc je n’avais pas besoin de me motiver en plus. Christine m’a demandé et j’ai tout de suite aimé l’idée de participer à cette action. Ma seule condition était que nous allions boire une fois un verre avec l’équipe. Après tout, «bike to work» est aussi une histoire d’appartenance à un groupe. Fin mai déjà, nous nous sommes retrouvés pour une bière après le travail. Je connaissais Christine en raison de projets communs et j’avais rencontré Thiemo par hasard lors d’un atelier, quelques jours auparavant. Quant à Andreas, j’ai fait sa connaissance grâce à «bike to work». Je trouve cela intéressant de rencontrer les collaborateurs d’autres départements et d’en apprendre plus sur eux et leur travail. D’autant plus que quand on travaille dans la communication, avoir un bon réseau est le b.a.-ba.
Je vis sur les bords de l’Aar. C’est un vrai bonheur, mais il n’y a pas de transports publics à proximité. Je peux bien entendu marcher jusqu’à Helvetiaplatz pour prendre le tram ou le bus, mais je trouve cela plutôt compliqué. C’est pourquoi je prends presque toujours mon vélo pour me déplacer, aussi bien pour le travail que dans un cadre privé, y compris quand il neige en hiver. Quand je ne sors pas avec la poussette, je suis systématiquement à vélo. Je trouve que c’est un moyen de transport très agréable en ville: on n’a pas besoin de chercher une place de stationnement, on arrive vite à destination et, en plus, on se maintient en forme. Je me réjouis déjà de pouvoir bientôt installer mon fils sur le porte-bébé, car nous pourrons ainsi être à nouveau plus mobiles, à deux.
«A part le vélo, je fais du jogging, de la natation et de la musculation pour rester en forme, et j’adore rire et être en plein air. J’utilise en outre l’offre sportive de BKW en faisant du yoga une fois par semaine avec quelques collègues».
Poste chez BKW: IT Solution Architect – Solution Design & Innovation
Lieu de domicile: Frieswil
Lieu de travail: Berne, Viktoriaplatz
Trajet quotidien: 18 à 20 kilomètres
Temps de trajet par jour: 60 minutes
Je prends de toute façon mon vélo électrique pour me rendre au travail tous les jours, donc cela n’a pas représenté un gros changement pour moi. Je me déplace d’ailleurs quasiment toute l’année avec le Stromer ST1. Rien ne m’empêche de prendre mon vélo, sauf peut-être le verglas. J’ai surtout voulu participer à «bike to work» pour l’échange avec mes coéquipières et coéquipiers. J’ai trouvé cela très appréciable. Même le temps pluvieux du mois de juin n’a pas entamé ma motivation. Bien au contraire: j’ai maintenant la preuve que mes vêtements de pluie sont bien étanches, même par forte pluie, orage et tempête. Ce n’était donc pas un investissement inutile.
A titre privé, je me déplace rarement à vélo, mais cela tient surtout au fait que mes enfants ne sont pas encore en âge de pouvoir faire des sorties à vélo. Cela dit, pédaler une heure les jours où je travaille me suffit amplement. Car, et c’est une chose que beaucoup de gens ignorent, il faut aussi faire un effort physique avec un vélo électrique; il ne roule pas tout seul. Mais l’effort en vaut la peine. Surtout lorsque je choisis de prendre l’itinéraire «the long way home», qui passe par les berges idylliques du lac de Wohlen.
«J’ai la «grosse» version du Stromer ST1, avec le moteur de 500 W dans le moyeu, qui nécessite une autorisation moto. Si j’ai le vent dans le dos ou que la route est légèrement en descente, ma vitesse peut atteindre 50 km/h».